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Médecine pénitentiaire

Six mois après son retour en prison à temps plein, en octobre 2008, Jean-Marc Rouillan a appris qu'il souffre d'une grave maladie évolutive. Alors qu'une nouvelle crise douloureuse le frappe actuellement derrière les murs des Baumettes, personne n'est disposé à lui donner un traitement adapté... en attendant une libération pour raison médicale. L'ancien militant d'Action Directe s'interroge dans ce qu'il serait permis d'appeler le « couloir de la mort lente ».

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